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Grand Prix de Saint-Marin

Tout savoir sur... la course


En bref

Troisième manche du Championnat du monde 1999 de F1. logo FIA F1WC
Dates: 30 avril, 01 et 02 mai. Lieu: Autodrome Enzo et Dino Ferrari, Imola (Italie).
Engagés: 22. Qualifiés: 22. Partants: 22. Classés: 11.
Conditions atmosphériques: ciel ensoleillé.
Affluence: environ 90 000 spectateurs le dimanche (182 000 sur les trois jours).


Le Grand Prix

circuit Année de création du Grand Prix: 1981.
Editions disputées à ce jour: 18 (toujours sur le même circuit).
 
Heure de départ: 14h.
Distance: 4,930 km x 62 tours, soit 305,428 km au total.
Décalage entre les lignes de départ et d'arrivée: -232 m.
ATTENTION: la course s'effectue dans le sens inverse des aiguilles d'une montre!


Les records

Pole position

Meilleur tour

1'23"303 (moy. 213,054 km/h) par
Jacques Villeneuve (Williams FW19-Renault) en 1997.
1'25"531 (moy. 207,504 km/h) par
Heinz-Harald Frentzen (Williams FW19-Renault) en 1997.
 

Le podium 1998

P Pilote Châssis-Moteur Pneu Temps Moyenne
1 7. David Coulthard McLaren MP4/13-Mercedes Bridgestone 1h34'24"593 194,117 km/h
2 3. Michael Schumacher Ferrari F300 Goodyear + 0'04"554 193,961 km/h
3 4. Eddie Irvine Ferrari F300 Goodyear + 0'51"776 192,359 km/h


Les faits de course

Michael Schumacher gagne sur le terrain de Ferrari Le GP de Saint-Marin a ouvert la saison européenne du Championnat du monde 1999 de F1. Sur son terrain d'Imola, la Scuderia Ferrari avait, comme toujours, de bonnes raisons de vouloir briller. Mais pour cela, il fallait déjà vaincre les performantes McLaren-Mercedes, détentrices des meilleurs chronos lors des essais. Mika Häkkinen semblait vouloir mettre tous ses adversaires à la raison en imprimant un rythme endiablé à la course. En fit-il trop? Sa furieuse chevauchée s'acheva dans le mur...

David Coulthard restait seul aux commandes à défendre l'honneur des "Flèches d'Argent", mais c'était sans compter sur Michael Schumacher et la formidable organisation du clan Ferrari dans les stands. Deux superbes arrêts programmés judicieusement, et une course pleine de panache de la part de Michael Schumacher avait raison des espoirs de David Coulthard. L'Ecossais se classait second devant Rubens Barrichello, impeccable au volant de sa Stewart-Ford Cosworth.

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