Lola-Ford Cosworth
Tout savoir sur... l'écurie
La carte de visite |
Adresse |
Couleurs et site internet |
Management |
Mastercard Lola F1 Team
Glebe Road, St Peters Hill,
Huntingdon, Cambridgeshire,
PE18 7DS (Royaume-Uni) |
www.mastercard.com/lola |
Président Directeur Généal
et Directeur Technique: Eric Broadley |
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Le palmarès (en début de saison) |
Historique |
Course |
Championnat |
Débuts en Grand Prix: Pays-Bas 1962
Grands Prix disputés: 149 (dont 18 Embassy
+ 19 Haas + 78 Larrousse + 14 Scuderia Italia)
Points marqués: 43 (moy. par GP: 0,29) |
Pole position: 1
Meilleur tour: 0
Victoire: 0 |
Meilleur classement: 4ème en 1962
Classement 1996: non concouru |
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La monoplace |
Châssis |
Moteur |
Pneumatique |
Lola T97/30 |
Ford Cosworth V8 ECA Zetec-R
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La matériel |
Châssis T97/30 réalisé par un pool d'ingénieurs sous la direction d'Eric Braodley.
Boîte de vitesses transversale semi-automatique Lola. Moteur V8 Ford Cosworth ECA (le V10 conçu en
collaboration avec Al Melling pourrait apparaître en cours de saison). Système de suspension AV/AR
à double triangulation et poussoir. Combinés ressort/amortisseur Koni. |
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La présentation |
Cent trente-neuf Grands Prix au compteur mais pas la moindre victoire! A l'opposé de
disciplines comme la Can-Am, les Sport-Protos ou, comme aujourd'hui, l'IndyCar américaine et la F3000
européenne, la vie en F1 pour Lola n'a jamais été un long fleuve tranquille. Pour le père fondateur,
l'œuvre restait donc plus que jamais inachevée. A moins d'un an de la commémoration du 40ème
anniversaire de la création de Lola Cars en 1958, Eric Broadley pouvait-il se résoudre à clore le
chapitre F1 du grand livre de sa marque sur le cuisant échec de 1993? Non!
Une nouvelle fois échaudé par un retour avorté en 1994, il optait pour un repli stratégique afin de
mieux préparer un énième "come-back" qui, cette fois, devait être décisif. Des contacts avec la très
convoitée société de crédit américaine "MasterCard" étaient alors noués. Dix-huit mois plus tard et
un contrat de 40 millions de dollars en poche (10 par an) le presque septuagénaire finissait par
réussir l'un des plus beaux coups marketing de sa carrière. L'épilogue heureux de ces négociations
serrées avait lieu début novembre, alors que commençait une toute autre course contre la montre...
Le 02 décembre, la trentaine de personnes spécialement attachées au projet F1 (s'appuyant sur les
quelque 200 âmes des autres départements d'Huntingdon) s'attaquaient à la tâche et deux mois et demi
plus tard, la Lola-Ford T97/30 était dévoilée à Londres. Au terme de ce tour de force technique,
Broadley réussissait son premier pari... Le plus aisé, sans doute!
Fortement malmené par Reynard en championnat IndyCar, Broadley sait mieux que quiconque qu'un nouvel
échec en GP porterait un énorme préjudice à sa marque. Un constat qui ne semble pas effrayer l'homme.
Ainsi, sûr (trop?) de son affaire, n'hésite-t-il pas à mettre la barre très haut en ironisant sur le
Stewart Grand Prix (l'autre écurie débutante de l'année) et en claironnant que Lola devrait être en
mesure de se montrer la plus performante des écuries chaussées de Bridgestone. Un sacré challenge
quand on sait que le team (qui a aussi entrepris la réalisation de son propre V10) ne dispose pas
avec le Ford V8 ECA du plus brillant moteur du plateau et que Vincenzo Sospiri effectue ses débuts
en GP. Certes, Ricardo Rosset est plus aguerri, mais ses piètres performances chez Footwork l'an
passé plaident peu en sa faveur. Alors, vers quelle aventure se dirige donc ce constructeur dont la
production de châssis est supérieure au millier d'exemplaires? Ressemblera-t-elle à ses premiers pas
en F1 quand John Surtess avait signé la pole du GP de Hollande en 1962 ou à ses derniers quand les
T93/30 de la Scuderia Italia écumaient les fonds de grille en 1993? De cette réponse dépend,
aujourd'hui, la crédibilité de la marque...
Fin mars 1997, le coup de théâtre!!!: Après la non-qualification de ses deux pilotes pour le
GP d'Australie, l'écurie Lola se voit plaquée par son partenaire principal MasterCard. Conséquences:
des monoplaces sous bâches, des caisses de matériel hermétiquement closes, c'est cette image de
désolation que présentait le stand Lola à Interlagos (GP du Brésil).
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Tout savoir sur... les pilotes
Leur palmarès (en début de saison) |
24. Ricardo Rosset |
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Carte de visite: Né le 27/07/1968 à São Paulo (Brésil). Célibataire. |
Débuts en Grand Prix: Australie 1996 (Footwork) et Grands Prix disputés: 16 |
Carrière en F1: Footwork (96) |
Pole position: 0 et Meilleur tour: 0 |
Meilleur classement en course: 8ème au GP de Hongrie 1996 |
Point marqué: 0 (moy. par GP: 0,00) |
Meilleur classement au championnat: 18ème en 1996 |
Classement 1996: 18ème avec 0 point |
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25. Vincenzo Sospiri |
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Carte de visite: Né le 09/10/1966 à Forli (Italie). Célibataire. |
Débute en Grand Prix |
Palmarès 1995: Champion international de F3000 |
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Andrea Montermini (pilote d'essais) |
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