Grand Prix du Brésil
Tout savoir sur... la course
En bref |
Deuxième manche du Championnat du monde 1998 de F1. |
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Dates: 27, 28 et 29 mars. Lieu: Autodrome José Carlos Pace, Interlagos, São Paulo. |
Engagés: 22. Qualifiés: 22. Partants: 22. Classés: 11. |
Conditions atmosphériques: ciel nuageux. |
Affluence: environ 45 000 spectateurs le dimanche. |
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Le Grand Prix |
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Année de création du Grand Prix: 1973. |
Editions disputées à ce jour: 25 (15 à São Paulo et 10 à Rio de Janeiro). |
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Fuseau horaire: GMT -3h (-5h de France, heure d'été). |
Heure de départ: 13h, heure locale (18h, heure française). |
Distance: 4,292 km x 72 tours, soit 309,024 km au total. |
ATTENTION: la course s'effectue dans le sens inverse des aiguilles d'une montre! |
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Description: Circuit très technique, très exigeant pour l'homme
comme pour la machine avec des grandes courbes en appui.
Virages serrés et revêtement bosselé. |
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Les records |
Pole position |
Meilleur tour |
1'15"703 (moy. 205,672 km/h) par Nigel Mansell (Williams FW14-Renault) en 1992. |
1'18"397 (moy. 197,089 km/h) par Jacques Villeneuve (Williams FW19-Renault) en 1997. |
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Le podium 1997 |
P |
N° |
Pilote |
Châssis-Moteur |
Pneu |
Temps |
Moyenne |
1 |
3. |
Jacques Villeneuve |
Williams FW19-Renault |
Goodyear |
1h36'06"990 |
192,906 km/h |
2 |
8. |
Gerhard Berger |
Benetton B197-Renault |
Goodyear |
+ 0'04"190 |
192,766 km/h |
3 |
14. |
Olivier Panis |
Prost JS45-Mugen Honda |
Bridgestone |
+ 0'15"870 |
192,377 km/h |
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Les faits de course |
Avant que ne débute le GP du Brésil, le climat était à la grogne. Et aux réclamations posées par les écuries doutant de la légalité du système de freinage adopté par les McLaren et autorisé à Melbourne. Une fois que les commissaires techniques eurent rendu leur verdict et finalement déclaré illégal ce fameux système, le sport a repris ses droits. Et les McLaren-Mercedes leur... domination.
Auteurs du doublé aux essais, Mika Häkkinen et David Coulthard ont réussi la même performance durant la course reléguant à une bonne minute la Ferrari de Michel Schumacher. Celui-ci dut s'employer pour venir à bout d'un excellent Alexander Wurz, impeccable au volant de sa Benetton-Playlife, et qui sortit grandi de son duel contre Heinz-Harald Frentzen. Avec ou sans système miracle, les McLaren-Mercedes, superbes d'efficacité, n'ont laissé plané aucun doute. La question est de savoir qui sera en mesure d'entraver la marche du duo Häkkinen-Coulthard? |
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