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Grand Prix des Etats-Unis

Tout savoir sur... la course


En bref

Dix-septième manche du Championnat du monde 2014 de F1. logo FIA F1WC
Dates: 31 octobre, 01 et 02 novembre. Lieu: Circuit des Amériques, Austin.
Engagés: 18. Qualifiés: 18. Partants: 18. Classés: 15.
Conditions atmosphériques: ciel ensoleillé. 23°C dans l'air, 34°C sur la piste et 43% d'humidité.
Affluence: environ 107 700 spectateurs le dimanche (237 400 sur les trois jours).


Le Grand Prix

circuit Année de création du Grand Prix: 1959.
Editions disputées à ce jour: 37 dont 30 sous le nom "Etats-Unis" (1 à Sebring, 1 à Riverside, 15 à Watkins Glen, 3 à Phoenix, 8 à Indianapolis et 2 à Austin) et 7 sous le nom "Etats-Unis Est" (5 à Watkins Glen et 2 à Détroit).
En plus, il y eut aussi 8 Grands Prix sous le nom "Etats-Unis Ouest" (tous à Long Beach).
 
Fuseau horaire: GMT -6h (-7h de France, heure d'hiver).
Heure de départ: 14h, heure locale (21h, heure française).
Distance: 5,513 km x 56 tours, soit 308,405 km au total.
Décalage entre les lignes de départ et d'arrivée: -323 m.
ATTENTION: la course s'effectue dans le sens inverse des aiguilles d'une montre!


Les records

Pole position

Meilleur tour

1'35"657 (moy. 207,479 km/h) par
Sebastian Vettel (Red Bull RB8-Renault) en 2012.
1'39"347 (moy. 199,773 km/h) par
Sebastian Vettel (Red Bull RB8-Renault) en 2012.
 

Le podium 2013

P Pilote Châssis-Moteur Pneu Temps Moyenne
1 1. Sebastian Vettel Red Bull RB9-Renault Pirelli 1h39'17"148 186,374 km/h
2 8. Romain Grosjean Lotus E21-Renault Pirelli + 0'06"284 186,178 km/h
3 2. Mark Webber Red Bull RB9-Renault Pirelli + 0'08"396 186,112 km/h


Les faits de course

5ème succès de suite et 10ème de l'année pour Hamilton Combien de temps Nico Rosberg va-t-il continuer à subir les "coups" de Lewis Hamilton? L'Allemand qui, à la fin de l'été, après un GP de Belgique mouvementé, semblait avoir bien en mains les commandes du Championnat du monde, ne cesse depuis de subir désillusion sur désillusion. La dernière en date, ce dimanche sur le circuit des Amériques, pourrait du coup bien être celle de trop. Pourtant, samedi, en décrochant la 9ème pole position de sa saison, Rosberg paraissait en mesure d'inverser la donne. Son sourire en disait d'ailleurs long sur la confiance qui l'animait alors que son rival, lui, se plaignait d'importants soucis de freins. Cette domination, le fils de Keke la maintenait en course en prenant un envol absolument parfait. Sans jamais être totalement décroché, Hamilton étalait alors une certaine impuissance à venir inquiéter son coéquipier. Et puis vint le premier changement de pneus...

Alors que Rosberg s'était construit un matelas de presque trois secondes d'avance, celui-ci s'évaporait en quelques boucles. Et au 24ème tour, bien que venant de très loin, Hamilton réussissait un freinage d'école pour surprendre un Rosberg tardant à fermer la porte. Peut-être par manque de concentration? Toujours est-il que le Britannique bondissait sur l'occasion avec un opportunisme et une agressivité remarquables. Très vite, il se mettait hors de portée du DRS adverse et même un second passage aux stands ne changeait rien à la donne: pour la 5ème fois d'affilée, Hamilton levait les bras en vainqueur au drapeau à damier. Ce qui lui permet de compter désormais 24 points d'avance au Championnat du monde. Un avantage mathématique tout autant que psychologique à chaque Grand Prix plus considérable.

Derrière les intouchables Mercedes, Daniel Ricciardo a une fois encore fait l'étalage de son art du dépassement et de sa clairvoyance tactique. Dans les premiers tours tout d'abord, où il devait faire oublier un départ raté en effaçant notamment Fernando Alonso. Puis lors des passages aux stands, qui lui permettaient de se défaire des deux Williams de Felipe Massa (4ème) et Valtteri Bottas (5ème). Le Français Jean-Eric Vergne (10ème), lui, a profité du strike opéré par le maladroit Sergio Pérez sur Adrian Sutil et Kimi Räikkönen au 2ème tour pour se faufiler dans les points. Au prix également de dépassements incisifs, notamment un fratricide vis-à-vis de son compatriote Romain Grosjean (11ème).
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