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Grand Prix d'Australie

Tout savoir sur... la course


En bref

Première manche du Championnat du monde 2007 de F1. logo FIA F1WC
Dates: 16, 17 et 18 mars. Lieu: Circuit de l'Albert Park, Melbourne.
Engagés: 22. Qualifiés: 22. Partants: 22. Classés: 17.
Conditions atmosphériques: ciel ensoleillé. 21°C dans l'air, 40°C sur la piste et 52% d'humidité.
Affluence: environ 105 000 spectateurs le dimanche (301 000 sur les trois jours).


Le Grand Prix

circuit Année de création du Grand Prix: 1985.
Editions disputées à ce jour: 22 (11 à Adélaïde et 11 à Melbourne).
 
Fuseau horaire: GMT +11h (+10h de France, heure d'hiver).
Heure de départ: 14h, heure locale (04h, heure française).
Distance: 5,303 km x 58 tours, soit 307,574 km au total.


Les records

Pole position

Meilleur tour

1'24"408 (moy. 226,173 km/h) par
Michael Schumacher (Ferrari F2004) en 2004.
1'24"125 (moy. 226,934 km/h) par
Michael Schumacher (Ferrari F2004) en 2004.
 

Le podium 2006 (57 tours effectués sur les 58 prévus, soit 302,271 km)

P Pilote Châssis-Moteur Pneu Temps Moyenne
1 1. Fernando Alonso Renault R26 Michelin 1h34'27"870 191,990 km/h
2 3. Kimi Räikkönen McLaren MP4/21-Mercedes Michelin + 0'01"829 191,928 km/h
3 7. Ralf Schumacher Toyota TF106 Bridgestone + 0'24"824 191,153 km/h


Les faits de course

Kimi Räikkönen remporte sa première course en Rouge La première course de la saison s'est exceptionnellement jouée un samedi. Le dimanche, Kimi Räikkönen n'avait plus d'adversaire à sa mesure après les soucis rencontrés par son propre équipier. Handicapé par un problème de boîte de vitesses, Felipe Massa aurait dû partir de la seizième place avant que la Scuderia ne décide de changer son moteur. Parti du fond de la grille, le Brésilien a finalement terminé sixième, marquant trois points utiles pour sauver les meubles, grâce à une stratégie originale à un seul arrêt, la preuve que l'écurie italienne reste la reine des adaptations tactiques malgré le départ du directeur technique Ross Brawn et l'obligation d'utiliser à la fois les pneus durs et les pneus tendres en course. Au 37ème tour, Massa a d'ailleurs pu goûter à l'illusion de rouler devant Räikkönen, juste avant que celui-ci ne lui prenne un tour, menant sa "barque" en père tranquille.

Lire et relire les déclarations successives du premier vainqueur de l'année permet de saisir à quel point la Ferrari domine en ce moment. "Nous avons simplement fait de notre mieux (en qualifications) et ça a suffi", affirmait Kimi Räikkönen samedi, après avoir signé la pole position avec plus de quatre dixièmes d'avance sur Alonso. "Nous serons encore plus faciles en course, nous pensons que la marge de notre voiture par rapport à la concurrence y est plus importante qu'en qualifications." Une morgue qui pouvait se retourner contre le Finlandais en cas d'étourderie. Or le Finlandais a mené la course de bout en bout, sans jamais compter un écart gigantesque, une vingtaine de secondes au maximum, mais sans jamais être inquiété non plus. "Nous n'avons pas eu à trop pousser la voiture", confirmait-il. "Mon seul problème fut la radio, qui s'est cassée avant le départ."

Dans ce contexte de supériorité évidente, Fernando Alonso est déjà content d'avoir obtenu la deuxième place. D'autant que l'Espagnol a pu constater au départ que Lewis Hamilton était fait d'une autre nature que son ancien coéquipier, Giancarlo Fisichella, terne cinquième ce dimanche et menacé jusqu'au bout par Massa pour son premier Grand Prix en tant que "leader" de l'écurie Renault. Tassé par la BMW Sauber de Robert Kubica au départ, le jeune Britannique a réagi en un éclair, faisant l'extérieur au Polonais et à Alonso. Il prendra même les rênes d'une course dès son 18ème tour en F1 après les premiers ravitaillements de Räikkönen et Heidfeld. Alonso a même dû attendre le dernier tiers de la course pour lui prendre la deuxième place. "Sincèrement, il aurait été agréable de gagner aujourd'hui, mais c'était impossible", estimait le Champion du monde en titre à l'arrivée. "Je pense que nous devons être satisfaits." Avec un premier podium d'entrée, Hamilton était encore plus content que l'Espagnol, bien plus en tout cas que Heikki Kovalainen, "l'autre" débutant seulement dixième après plusieurs erreurs de pilotage.
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