Grand Prix du Brésil
Tout savoir sur... la course
En bref |
| Deuxième manche du Championnat du monde 1997 de F1. |
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| Dates: 28, 29 et 30 mars. Lieu: Autodrome José Carlos Pace, Interlagos, São Paulo. |
| Engagés: 22. Qualifiés: 22. Partants: 22. Classés: 18. |
| Conditions atmosphériques: ciel nuageux. |
| Affluence: environ 40 000 spectateurs le dimanche. |
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Le Grand Prix |
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Année de création du Grand Prix: 1973. |
| Editions disputées à ce jour: 24 (14 à São Paulo et 10 à Rio de Janeiro). |
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| Fuseau horaire: GMT -3h (-5h de France, heure d'été). |
| Heure de départ: 13h, heure locale (18h, heure française). |
| Distance: 4,292 km x 72 tours, soit 309,024 km au total. |
| ATTENTION: la course s'effectue dans le sens inverse des aiguilles d'une montre! |
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| Description: L'autodrome José Carlos Pace, qui avait servi de cadre
au premier GP du Brésil de l'histoire en 1973, a subi depuis de profonds remaniements. Son
développement est ainsi passé de 6,920 km à 4,292 km, mais il a conservé son caractère exigeant
avec ses courbes rapides, son relief vallonné et sa piste bosselée. Le circuit est situé à 16 km
au sud du centre-ville de São Paolo. |
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Les records |
Pole position |
Meilleur tour |
1'15"703 (moy. 205,672 km/h) par
Nigel Mansell (Williams FW14-Renault) en 1992. |
1'18"455 (moy. 198,458 km/h) par
Michael Schumacher (Benetton B194-Ford Cosworth) en 1994. |
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Le podium 1996 |
| P |
N° |
Pilote |
Châssis-Moteur |
Pneu |
Temps |
Moyenne |
| 1 |
5. |
Damon Hill |
Williams FW18-Renault |
Goodyear |
1h49'52"976 |
167,674 km/h |
| 2 |
3. |
Jean Alesi |
Benetton B196-Renault |
Goodyear |
+ 0'17"982 |
167,218 km/h |
| 3 |
1. |
Michael Schumacher |
Ferrari F310 |
Goodyear |
+ 1 tour(s) |
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Les faits de course |
Avec une grille de départ variée au possible, ce GP du Brésil s'annonçait ouvert et indécis. Malgré une domination assez nette de Jacques Villeneuve, poleman et vainqueur, cette deuxième manche de la saison 1997 a été intéressante à suivre et a permis à certaines écuries, malheureuses en Australie, de se rappeler au bon souvenir de tous. Ainsi Benetton, grâce à un Gerhard Berger en pleine forme, pu inquiété Williams.
C'est cependant l'écurie Prost qui a crée la sensation à Interlagos: Olivier Panis a confirmé en course sa bonne prestation des essais. En outre, une bonne stratégie en matière de ravitaillement lui a permis de monter sur la 3ème marche du podium, devançant un trio fort huppé composé de Mika Häkkinen, Michael Schumacher et Jean Alesi. Soit cinq écuries différentes aux cinq premières places. Il y avait bien longtemps que l'on n'avait pas vu cela à l'arrivée d'un Grand Prix. |
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